Huile sur toile 40/50
Le bord de mer est une ouverture sur les autres continents, le ciel sur les planètes et galaxies. Tout revient à la rive, cette épave tout comme notre passé nous est ramené par les courants de la vie ou événements. Afin que nous ne puissions les oublier. Elle (cette épave) se consume lentement pour nous permettre de bien comprendre et d’assimiler son message comme une remise en question, afin de ne pas commettre les mêmes erreurs. Passage obligatoire pour mieux recommencer à explorer notre univers, mais cette fois avec une élévation de la pensée qui va au-delà des races et cultures.
Les rochers tel des remparts naturels nous protège de notre propre passé nous permettant de le voir sans qu’il ne nous détruise à nouveau.
Les 2 Totems électronique de couleur verte nous rappel la nature tel de grand peuplier, d’ailleurs les grandes villes ne sont’ elles pas des forêts de culture au pensée multiple, ou toute construction est élancée vers l’espace prêt à réceptionner ou envoyer des messages. Ce regroupement et concentration d’énergie on permit l’émergence d’une nouvelle idéologie tournée vers les ressources naturelles en harmonie avec le cosmos et nous-mêmes.
La mer est houleuse et dangereuse tout comme le ciel est orageux et instable, car le fait de vouloir aller vers l’autre, de vouloir quitter ce milieu dans lequel nous sommes malgré nous enraciné, demande une force et volonté non négligeable, et gare aux intempéries, car un retour comparable à cette épave serait regrettable. Mais, bien préparé, cette aventure ne peux que grandir celui qui sera la mener à sont terme, à voir au-delà de sa propre personne et comprendre les autres.
L’auteur François Roulet – août 2008